||FINI|| ♣ Nach einer langen Abwesenheit... ( PV )

" Cendrillon, oh ma Cendrillon ... " voilà ce que je retenais de mon existence, ma dernière fois... Avait-je simplement rêver ? Rêver d'un monde presque parfait, avec un étalon et une pouliche ? Ou ai-je tout simplement sombrer dans un néant profond ? Dans tous les cas, je me retrouve là, a obéir sagement aux humains. Il m'avait laisser dans le rond de longe, car à cause d'une méchante chute je m'étais blesser l'antérieur droit, boitante je devais limiter mon champ de marche, alors on m'avait mise ici... Sa ne me déplaisais pas, non pas du tout... Mais j'étais seule, et rester seule ainsi, ben j'aimais pas du tout.. Je pliais tout mes membres, et lâcher doucement mon corps au sol, laissant juste un poids plume tomber, par un petit " bam " on pu me voir au sol, les yeux pratiquement fermé, dans une position bien étrange, le nez à chercher la moindre herbe bien grasse, bien que ce soit un rond de longe qui a que de l'herbe x') Je soupirais et lâcher un petit hennissement, quelques petits passaient pour toucher le bout de mon nez, ronflante tranquillement, ils partaient me laissant dans un dernier soupire.

Le vent de ce jour était un ennemi. Il soufflait l'odeur sauvage qui s'avançait depuis le plus profond des Terres de l'étalon bai, Wokish. Les pas rythmés s'entendaient, portaient par le vent. Des crins crème volaient. Tout cela m'appartenait. J'avais envie de voir Cheyenne, celle que j'aimais, sur les terres indiennes, pour une fois. Alors je m'avançai en terres ennemies, comme j'avais l'habitude de le dire. Je marchai tranquillement avant qu'une soudaine envie d'un galop ne me prenne. Je pris donc le galop.

J'allai bon train, filant dans le vent comme une flèche, un long moment. Je ne m'arrêtai que lorsque le campement m'apparut. Je pilai net, fléchissant les jarrets pour presque m'assoir. L'encolure arquée, je me redressai, me remettai d'aplomb. Je ne l'avais pas vu depuis si longtemps! Un peu plus de six ans, pas encore sept. Le jour où j'avais quitté ma mère ma restait présent. Pourtant, mon esprit resta libre, ce jour-là. Je pus continuer à réfléchir tranquillement à ce pourquoi j'étais venu: voir la belle Chey'.

Je regardai autour de moi en pivotant. une masse grise dans le rond de longe, endroit de mon enfance, m'attira. Comme le vent était mon ennemi, je ne parvenais pas à sentir l'odeur. J'y allai, arrivant aussi mal à voir qui était cette jument couchée dans l'herbe grasse qui jonchait le sol. Arrivé à quelques mètres de l'endroit, je me rendis compte que ce n'était pas Cheyenne, mon amour, mais une autre jument grise pâle qui, au fond, lui ressemblait. Je ronflai des naseaux en voyant des petits Indiens. Pourtant, je ne me focalisait pas dessus. J'attendais que la jument parle. Au cas contraire, j'irai voir ailleurs.

Des pas, rien que des pas... J'entendais que ça ! Les yeux entre-ouverts, je remarquais un cheval sauvage pie, bien que difficile d'amitié, je penchais mes oreilles en arrières, simple habitude... Et d'un simple mouvement me lever pour aller vers la barrière, le poitrail bombé, je fini par m'arrêter net et lâché presque vulgairement, bien que de ma jolie voix de grisette.

" Que me voulez-vous ? "

Au fond on sentait la voix sauvage, on sentait mon passé, mais moi... Mon reflet était près des humains, bien que dans mon ancien présent, je les haïssais, sans le savoir... J'étais devenue une autre... A se que j'ai entendus par des indiens, avant je ne me laissais pas approcher par des humains, mais par des chevaux sauvages, maintenant... J'ai changer ! Je cacher mes oreilles dans ma crinière, levant hautement la tête de petite pure sang, presque " pétassement " je me retourner, balayant l'air de ma queue, non pas une catin... Juste une typée sang arabe.

" Si ta rien à rajouter, tu peux te casser, pas besoin d'un étalon près de mon pré u.u "

Moi méchante ? Jamais de la vie ! J'ai toujours était ainsi, mal aimer, donc je fais pareil...

La jument se redressa rapidement lorsqu'elle me vit. Elle avança, fière, vers la barrière, alors que j'arquai mon encolure longue et musclée. Sa voix douce lâcha presque vulgairement quelques mots qui firent naitre sur mon facièce un sourire presque méprisant.

-Ce que je te veux? Rien, ce n'est pas toi que je suis venu chercher par ici. Stupide idée de la part d'un libéré, non?

Ironique et glaçant. Je l'étais. Je n'avais plus besoin d'attirer l'oeil, j'avais trouvé la paire de prunelles que je voulais voir luire, luire jusqu'à ce que la vie quitte mon corps. Et pas le sien. Pas elle avant moi. J'aurai trop mal. Je l'aimai trop pour cela. Ma Cheyenne.

La jument enfouit ses petites oreilles incurvées dans sa longue et soyeuse crinière à peine grise, si proche de la perfection du blanc. Elle leva hautainement la tête, méprisante. Je secouai la tête, dénudant un instant les dents. Je n'aimais guère celà. C'était moi, qui me montrait, et pas elle. Et lorsqu'elle pivota, chassant l'air de son impétueuse queue, je galopai par l'extérieure jusque l'extrémité de son rond de longe pour la garder face à moi. Elle m'avait piqué au vif et je ne la lâcherai plus si facilement. Je gardai les oreilles contre mon crâne bicolore.

-Que veux-tu que j'ajoute? Je ne suis pas chez moi, ce n'est pas à moi de me présenter.

Réplique cinglante, bien remontée. Je secouai la tête de haut en bas avant de me cabrer d'un bon mètre, battant l'air de mes antérieurs. Non mais! C'était quoi ces manies? Mon regard luisait de rage. Je finis par tourner la tête, pointant les oreilles vers le troupeau de chevaux sauvages qui paissait, des centaines de mètres plus loin. Y était-elle? Pour le savoir, j'hennis le plus fort que je pouvais, levant la tête, fermant les yeux et laissant mon corps vibrer sous la force de mon appel. J'espérai sa réponse. J'écoutai le silence pour espérer l'entendre.

Mais c'est qu'il fait son grand le petit. Il aimait jouer, mettre de l'huile sur le feu, et cela ne me déplaisais point, sa manière de faire était tout aussi exquise que son petit rôle de caïd. Je remis mes oreilles droites, fermant presque totalement les yeux, je soufflais.

" Le jour où tu comprendra qu'il ne faut pas se fier aux apparences, tu deviendra un bon étalon de garde. "

Je souriais narquoisement et me retournais brutalement, pivotant sur mes jambes postérieurs, presque me pliant complétement. Je reposais fermement mes antérieurs et me mis au trot allonger, trottinant jusqu'à l'autre côté, là où la barrière était. Bien que l'étalon appel sa belle, espérant la voir arriver au galop comme une folle, je rester neutre, et à mon tours appeler, mais moi j'appeler un Indien, qu'il me sorte d'ici ou fasse dégager ce " King Fake " oui, cela est bien mon expression. D'ailleurs, une petite indienne pas très grande m'ouvris la porte, ma blessure n'étant pas très grave, et aussi étant une jument a qui on peu faire confiance, elle me laisser sortir. Je fini par m'approcher de l'étalon et le regarder des oreilles jusqu'au pied et lui dire.

" Je crois que t'est plus grand de loin, dommage, t'est en faite vraiment petit pour un étalon renomé. "

Je me retournais, joyeusement pour me mettre au trot, l'encolure arquée et les oreilles pointés en avant, d'un trot élégant j'étais destinée à aller passer voir les chevaux du " village " des " amis " si l'ont puisse dire...

Je n'aimais pas cette façon qu'elle avait de me détailler, pas plus que je n'appréciai ce qu'elle venait de me dire. Je secouai la tête, franchement agacé, avant de lui r"pondre d'un ton douceureux:

-Je ne suis pas de tous ces étalons qui ne font que courir derrière des chimères. Je ne suis pas bon gardien, je laisse filer le temps pour rien, en ce moment même...

Je secouai la tête en tentant de percevoir une quelconque réponse de ma belle grise. Mais non, rien. Peut-être n'était-elle pas présente, en cet instant où j'étais venu la quérir pour pouvoir sentir son exquise odeur. Lorsque la jument du rond de longe hennit et qu'une humaine accourut, j'émis un soupir avant d'avoir un réplique que je lâchai d'un air dégouté.

-Et ben, vous les juments, vous êtes toutes les même... Si t'as besoin de cette chose à deux pattes pour sortir, tu auras bientôt besoin de leur accord pour faire un pas en avant.

Je finis sur un note sarcastique avant que la jument ne sorte. Elle vint jusqu'à moi avant de me détailler des sabots à la pointe des oreilles. Je la laissai parler, un sourire assez narquois au visage, avant de lui rire au nez.

-Pour qui tu te prends, toi, banale petite grisette? Tu n'as pas le moindre panache qui te sorte de l'ordinaire. Tu n'as rien, rien pour toi. Je préfère être petit de près qu'un cheval qui se fond dans la masse, qui n'a ni passé, ni futur, à pein le présent. Je suis libre, moi. Libre et fier. Personne ne me dicte ma conduite, je vais où je veux, quand je veux. On ne m'enfermera jamais.

Mon rire glaçant roula dans la plaine. Elle m'avait trop cherché et bien qu'un étalon franchement dragueur, je ne la supportait pas du tout. Pour qui ce prenait-elle?

A chacune de ses paroles, je secouais la tête verticalement, tout en rajoutant à chaque fois des petits " Ok, ok. " je fini tout de même par m'arrêter et sans me retourner je me mis à ajouter.

" La bave du crapaud n'atteint pas la blanche colombe. "

Je souriais et continuer mon petit trot, partant en petit galop, laissant l'étalon à se place, la place de petit étalon de garde, à la recherche de son " amour " je me demande des fois si les étalons comme lui se doutent des choses, bien souvent un étalon gentil, est avec une jument qui court les étalons.. Alors que les étalons plutôt jaloux et propriétaire on des juments qui reste fidèle.

Finalement, je m'arrêter bien plus loin, j'avais complétement oublier ce crétin, toute façon pourquoi rester sur une mauvaise rencontre ? Je me mis à l'ombre, pliant mes antérieurs et lâchant enfin mon postérieur. Je secouais ma longue crinière qui tomber au sol, et les crins qui passait entre mes oreilles... Ben retomber en faite bien bas, beaucoup trop je trouve... Je soufflais pour retombe autre que devant mes perles bleutés. Je fermer d'ailleurs ceux-là, et posais ma tête au sol, soufflant sans bruit, essayant surtout de passer le temps et le tuer, aujourd'hui était une journée sans action, une journée à en faire ch*er les inoccupés xD Je sentis quelques choses me tourner les crins, je ne fis rien, laissant ainsi... Pensant, et rêvant, essayant... Mais à quoi ? Ben a mon passé pardis >.<

La jument commençait sérieusement à me courir sur le haricot. Sa réaction était puérile, tout simplement, alors je lui répondis, d'une voix à glacer le sang de n'importe qui:

-Blanche, peut-être, et encore, sans regarder de près, mais colombe surement pas, je vois juste une jument qui ne sait plus quoi faire pour attirer l'attention sur elle...

Je la regardai s'en aller dans son allure aérienne, n'observant pas plus son allure féline, car plus aucune n'attirerait mon regard, dans la logique des choses. Aucune sauf Cheyenne, ma bien-aimée. J'hennis une fois de plus en me cabrant avec fougue, battant l'air de mes puissants antérieurs. En touchant de nouveau le sol, j'hennis encore, d'un appel sauvage et puissant, qui fit se retourner nombre de chevaux aux plumes colorées. J'arquai l'encolure, fier et hautain, avant de galoper droit devant moi en rejetant la tête. Mes longs crins prirent le vent et volèrent en liberté, comme des oiseaux aggripés à mon encolure tendue vers le ciel.

Une petite indienne était allongée contre l'encolure de la jument fort peu agréable et lui tripotait la crinière alors qu'elle ne bougeait plus, comme si elle appréciai ce contact. Un rire mauvais m'échappa et je la regardai, l'air ironique. Je m'arrêtai à quelques mètres et, superbement fier, je lui dis, narquois:

-Et qu'elle fierté de jument que d'être d'une soumission extrème! Quand tu voudras prendre ton envol, tu me préviendras. Je rierai quand tes chaines te maintiendront au sol.

Je détournai mon regard avant de partir d'un pas souple en direction d'un quelconque autre endroit ou, peut-être, je verrai Chey'. Après tout, c'était bel et bien elle que j'étais venu cercher dans ces contrées hostiles que j'haïssais de tout mon être, de toute mon âme.

Mais, c'est qu'il allait me suivre de partout cet étalon ou quoi ? Je mis mes fines oreilles dans ma crinière et levais la tête, le regardant partir.. Il m'éclatais d'un côté, une compagnie équine comme lui, j'en demander encore et encore... En faite, j'aimais affronter les méchants loups, je secouais nerveusement la tête et me mis au pas pour aller voir ailleurs, enfin pas très loin car je tomber sur les prés des chevaux... Je les regardaient enfermés, et voyait que la vie n'était en faite pas que bonheur, bien au contraire... Je soupirais et me mis au trot, laissant valser mon corps, je me diriger ainsi, vers un endroit que j'avais remarquée : Un lac contouré de forêt. Mes yeux bleus regardaient le sol, mais moi j'étais ailleurs, en train de réfléchir à mon passé.

D'un coup, je glissais au sol, me cassant malheureusement la gueule. Je revins d'un coup à la réalité, et remarquée que j'étais presque dedans le lac x) Je regardais avec réflexe de partout et me lever me secouant avec force. Mon poils blanc tacheté de petites mouches noirs, était maintenant presque noirs, et voilà se que sa fait quand je pars dans mes foutues pensées >.<..

Je regardai la jument se relever et partir, sans regarder où elle allait. Je restai où j'étais, calme, avant de frémir à l'idée que, plus loin, des chevaux étaient enfermés. Heureusement que j'avais récupéré ma liberté. J'aurai été si malheureux, moi, à rester coincé au milieu des hommes, à obéir, à me soumettre... Non, je n'aurai pu. J'étais un esprit libre, sauvage, indomptable. J'étais un sauvage, né de Chevaux de l'Armée, gardé chez les Indiens... Rien ne m'accordait d'être un Libre, pourtant, c'était dans mon sang, dans les battements de mon pauvre coeur qui, pour le moment, galopait à la recherche de Cheyenne.

Un bruit d'eau me fit tourner la tête. La jument venait de tomber dans la boue d'un lac. Hilare, je secoui la tête avec moquerie. Elle, auparavant si blanche, était désormais couverte de boue sur tout un flanc, un peu sur l'autre. Mon rire glacial roula une fois de plus aux alentours alors que, d'une voix forte et ironique, je lancai:

-Félicitations, tu viens de gagner un bain. T'es propre comme un sou neuf dis-moi!

Je secouai la tête en riant, fier. Je panachai la queue avant de secouer l'encolure avec dédain. Mes crins volèrent dans le vent et je fis volte-face, sans un regard derrière moi. Je lâchai ma flèche de Parthe:

-Minable... Le Danger est partout...

Sur cette phrase bourrée d'énigme, je pris un petit trot aérien, faisant un tour de la plaine indienne, tout en réfléchissant encore à ma prochaine destination.

Qu'est-ce qu'il a, à se moquer ainsi de moi ? Si c'était la guerre qu'il voulait, il allait l'avoir ! D'un petit retour de manche, je me mis au galop, approchant rapidement l'étalon, qui plus que Dangereusement pour lui, j'arriver à ses côtés et de lui tirer les crins ; Façon jument, mais c'est efficace ! Je faisais ça non pour attirer mon attention, mais pour lui montrer que même enfermé, j'étais sauvage ! Je continuer mon galop et m'arrêter bien plus loin, sur un coin bien perché, je piller sur place et lui demandais.

" Toi et tes manies de bougre étalon, retourne dans ta plaine, et viens pas chercher ~~des nems~~ les emmerdes ! "

Prendre de surprise est toujours le meilleur, et comme coureuse, il ne me bat pas ! Étant une jument typé arabe, qui tient soleil, pluie, orage, tempête ; et qui de plus tient la longueur... Je crois pas qu'il puisse me battre dans la course, ni dans l'agilité et la ruse ! Je fini par jeter un coup d'œil sur l'étalon et redescendis rapidement, sans pourtant le croisé non, car je descendais d'un autre côté. Les chevaux indiens me regardaient, l'air de dire " Mais elle est cxnne elle oO " mais moi, je les emm*rder bien plus que profondément (a).

( si tu veux que sa se termine, il y a aucun soucis, j'ai plus d'idées >.< )

Je regardai la jument pivoter pour galoper droit sur moi, "menaçante". Je tendis l'encolure en remontant la tête. Mes naseaux se pincèrent, mes dents se dénudèrent alors que mes yeux viraient à la colère et que mes oreilles se plaquaient contre mon crâne. Lorsqu'elle tira sur mes crins, mon encolure sinua et elle ne repartit pas sans une marque de ma mâchoire sur son dos, réaction rapide. Si elle avait cru m'inquiéter ou me faire perdre ma contenance, elle avait eu tord, cette pathétique jument blanche, désormais tâchée. D'ailleurs, dans son grand courage, la jument ne s'arrêta que bien loin de moi. Après avoir fait rouler mes puissantes épaules, je repris mon pas, toujours vers un endroit indéterminé. Je l'écoutai parler, cracher son venin. Je secouai la tête avant de luibrépondre, sans même la regarder, avant de partir au galop:

-T'as raison. J'vais retourner dans ma plaine. Mais je reviendrai, et pas pour toi. Si je suis venu m'ennuyer en ta dérangeante compagnie, c'était dans l'espoir de croiser quelqu'un. Mais je crois que je vais chercher ailleurs. L'air est irrespirable, en ta présence!

L'allure soutenue, fier et hautain, je pris la direction du pré, passant devant les chevaux captifs avec une ardeur et une prestance rare. J'étais un sauvage, fais pour cela, et beaucoup m'enviaient. Alors autant jouer de mes charmes, en partant à la recherche de Cheyenne. J'accélérai, sans plus m'occuper des chevaux, avant de rejeter la tête en l'air et d'hennir avant de faire trois puissants sauts de mouton. Un hennissement me répondit et, tournant la tête vers la droite, j'y répondis, en m'élançant dans la direction de cet appel.

[Finish?]

Ouais, ben je m'en fichais qu'il me morde, après tout j'étais déjà bien tachée.

( Fini :'3 )