La vie est un rêve, mais rêver n'est pas vivre.

]

La vie est un rêve, mais rêver n'est pas vivre. Tumblr_lgj42gLaNf1qdoyv4o1_500

Souvenirs.

Allonger dans son Tipis, Lies repense à une histoire, un conte, Pas une légende,
mais presque. On pourrais plus dire, que c'est une histoire, qu'on raconte au petits, pour leurs faire peur.

<< Une femme et son mari désirent plus que tout avoir un enfant. Ils vivent trés pauvre,
dans une petite maison sans jardin, près de la riviere et de la Caserne, appartenant au Soldats.
La femme était tellement triste de ne pas avoir d'enfant, que son mari essaya tout...
Méme de lui apporter les remédes médicinales les plus puissants.

Après lui avoir apporté plusieurs fois de ces plantes "Magiques.
La femme accouche peut après d'une fille, et lui donnant le nom de « Ana ».
Ana grandit et devient une Petite fille d'une très grande beauté, dont les longs cheveux dorés
sont réunis en deux tresses longues et soyeuses.

Lorsque Ana atteint l'âge de quatre ans, sa mére la pause sur un radeau au sommet des chutes.
Un jour, un Soldat qui passe par là entend Ana pleurer et est pris de pitier par le son de sa voix.
Ne pouvant la laisser sur les rives, il s'en approche, Voyant à un moment, caché, une femme
qui lui fait signe de la prendre, il décide de tenter sa chance et l'améne à sa femme.
Lorsqu'il entre enfin chez lui, Ana est effrayée par les évenements et le choix de cet inconnu,
mais la femme parvient à la rassurer et lui dit qu'elle est sa mére. Confiante en son mensonge
et prête à oublié ce qui c'était passer, elle décide de partir avec eux.

Mais un jour, sa mére parle de l'accidentent de son adoption à sa fille Ana. Furieuse, la jeune fille
de 10 ans la punit en la poussanr de un ravin, en méme temps, en l'abandonnant dans le désert.
Lorsque cette derniere s'appercoit de ce qu'elle à fait, sa concience lui annonce qu'elle ne
reverra donc jamais sa famille, puis elle décide de ce laisser mourrire dans les bois.
Elle dégringole dans un buisson de ronces et faillit y perdre la vue.
(Dans une autre version, l'enfant tombe dans un buisson de roses qui faillit lui crèvé les yeux).
Elle se met à errer pendant Une années, pleurant sa bien-aimée Mére.
Elle finit par arriver dans le désert où vit désormais les indiens. S'écroulant sur le sol.

Un amis à elle, ( ancien fils de soldat ) reconnaît sa voix et s'approche d'elle.
Ana le reconnaît aussi et vient pleurer, suspendue à son cou. Il l'améne au Camp, et
c'elle-çi changea de nom pour Lies tirée de son histore personelle. [Mensonges en Anglais] >>

C ette histoire, n'est pour elle pas un Conte, mais son histoire, son passée, qu'elle hais plus que tout.
Un bruit ce fit entendre, prés de l'entrée de son Tipis.

La vie est un rêve, mais rêver n'est pas vivre. 6AdyoGtTuw

♦ Mon petit, mon tout petit... ♦ Lies
Un jour comme les autres, oh oui rien de mieux que la routine... Il n'était ni très tôt, ni très tard, pour tout vous dire, je m'en fichais un peu... Ma robe blanche, légèrement tacheté était étincelante, grâce au Soleil... Et pourtant, cela m'étais égal. D'un petit coup de postérieur, je me levais assez facilement, m'ébrouant pour enlever toutes les petites poussières du sol.. Le matin était très peu peuplé, seul quelques enfants jouaient par ici, ou par là et encore... D'un pas assuré, je m'avançais dans le village, l'encolure basse, je regardais tout simplement comment se passait la vie ici, comme tous les matins... Je pensais à mon passé, celui d'une maman, le seul truc dont je me rappel... Un petit poulain, que j'avais nommé " Darkotic " car c'était un petit démon, de plus... J'aimais beaucoup celui-ci, avec sa robe qui changeait dans les tons rougeâtres, mais que quand le soleil se couchait ou se lever... Je soupirais et entendis un petit bruit, les oreilles dressé, et l'encolure droite et hautement levée j'écoutais et essayer de trouver d'où venait le bruit.

[ Je peux ? Je poste et si ça ne vous conviens pas je supprimes. ]

*Je suis stupide.*

Je gémis. J'étais tombé de Faël et m'étais ouvert l'épaule profondément.

*En plus sur le territoire des indiens !!!*

Mon sang imbiber mon tee-shirt. De marron il était devenu d'une couleur rouge bizarre. Je parcourais le paysage du regard mais un cahot sous les sabots de mon étalon me fit perdre connaissance. J'étais fiévreux. Je délirais, si je n'étais pas soigné très vite j'allais y passer. J'ignorais où il m'emmenait mais je savais que si il m'emmenait au Fort j'étais foutu. C'était trop loin. Pas assez de temps. Je repensais à ma mère. A mon père inconnu que je ne voulais surtout pas connaître. Aux filles à qui j'avais brisé le cœur. Aux hommes à qui j'avais pourri la vie. A tout ceux que j'avais connu et qui m'avaient haï. J'aurais tant aimé réparer mes fautes. Même si elles sont plus nombreuses que les brins d'herbe de la Grande Plaine de mon enfance. Je me réveillais et soulevant difficilement mes paupières qui pesaient des tonnes j'observais où nous étions. Avant que ma vue trouble ne redevienne normal j'entendis les chants.

*Merd- !!! Cet abru-i de canasson m'a conduit au Camps des Indiens !*

Je ne pouvais m'empêcher de prier pour qu'ils abrègent mes souffrance, ma blessure à l'épaule ayant largement dépassés les limites du supportable. Faël se glissa tel un fantôme entre les tentes tandis que les indiens dansaient autour d'un gigantesque feu. Il tendit l'encolure et renifla l'air. Il se dirigea d'un pas discret vers un tipis où, sans vergogne il me précipita d'un coup de croupe. L'enfoi-é avait bien visé. Je passais pile par l'entré et m'écraser sur le sol et mon épaule lacérée se mit immédiatement en devoir de déverser ce qui me rester de sang sur...une main ? Je voulus me relever mais mon épaule se déroba et je retombais lourdement sur le dos en gémissant. Ouvrant les yeux ( que j'avais fermé en attente de l'impact ) je découvrit une jeune fille blanche. Très belle. Peux-être 14ans. D'une taille moyenne: 1m70 environ elle avait de long cheveux blonds, tressés et ornés de plumes multicolores. Une taille fine et de longues jambes. Un peu plus âgée je l'aurais volontiers mangé pour mon 4h. Son visage était un ovale délicatement dessiné. Ses lèvres, bien formé, pleine et d'une couleur excise on aurait dit qu'elles appelaient aux baisers. Son nez était légèrement retrousser et petit. Ses yeux étaient symétrique, en amandes et bruns. Dévorant son visage. Sa peau était d’un rose pale, sûrement d’une douceur incomparable. J'aurais bien voulu caresser sa joue. Au lieu de ça je murmurais, comme un appel au secourt -que c'était d'ailleurs- :

«-Je vous en pris, aider moi...»

Et encore un fois je tombais dans les bras de Morphée.

J'ouvris doucement le tissu qui servais de porte pour le tipis et vu Cendrillon la téte au dessus de la bariere et qui me regardais.
Tout en sortant doucement de ma réverie, j'avancais vers elle et lui caressa le toupet. Cette jument était si calme et magnifique.
Je me souvenais, que pour moi la sensation de Monter sur cette jument, c'est comme monter sur un cheval ailé. Sur les ailes du temps, elle va toujours à contre-courant, Projetant mes longs cheveux par son galop emballant comme celui d'un superbe pur sang.
A la vue d'une petite allant à la riviere lavé son linge, je me souvenue que j'avais moi aussi des vétement à laver. Je fit donc un léger bisous à Cendrillon avant d'aller dans mon tipis, prendre mon linge. Assise, ( Quelques minutes après ) sur ce qu'on apelle ici un lit mais qui est-en-fait, un dras rempli de paille, Je regardais la prairie qui s'étalait à perte de vue et entendi des bruits de Sabots. La curiosité l'emporta sur la sagesse, et je me leva pour aller voir. Un homme blanc lança son cheval, à toute allure vers le camp. Ou plutot, un cheval lança, à toute allure son cavalier vers le camp. Le cavalier à l'étalon Gris ne me vit pas, il devais étre blesser et donc dans mon tipis, il s'écrasa. Je fit un petit mouvement de recule et m'accroupie pour observer l'homme blanc. Ca me fesais drôle de revoir une personne du peuple que l'ai quittée. Il m'observais avec tourment, se demandant surment ce que fesais en enfant blanche chez les peau Mattes. Je l'observais et remarqua que c'était un homme d'environ vinght ans, des yeux couleur noisette telle les miens. Des cheveux courts, mais pas la coupe habituelle des soldats. Ils sont brun, sale et en bataille. Avec une barbe de trois jours, tres négligé. Il ne bougeais pas, me fixais, et puis me dit :
«-Je vous en pris, aider moi...»
Je ne savais quoi faire. Si je restais plus longtemps avec lui, il me reconnaitrais vu que j'ai passer la majoriter de ma vie, dans une famille de Soldat et irais me dénoncer. Je dit :
«- Ethan, calme toi. Je vais chercher une compresse »
Quelle idiote pourquoi j'ai dit son Nom ! Maintenant, c'est sûr je suis foutut. Je ferma derriere moi le rideau de porte et revint avec une compresse Tissé de feuilles. Il me regarda comme si j'était une deésse et que j'allais lui sauvée la vie ! Je sais que Le temps passe, Mais que méme les plus vagues souvenirs restent. Quoi que je fasses, Il aura toujours des restes. Meme du temps où à mes 5 ans, j'ai rejouins le village et que lui à 12 ans l'avais sus par des amis. Et si il devine que je suis la petite Ana, parceque c'est le nom que j'ai las-bas, il devineras aussi que je suis la petite Indienne qu'Alexis fréquante. Je paniquais, dans l'espoir qu'il ne devine pas. J'apliquais la compresse sur le sang et le regardais, jetant en méme temps des coups d'oeils rapides vers l'entrée du Tipis au ca où quelqu'un comme Apassamy entre et que je sois dans un vrai Pértin.

{ Ly paroles entre crochets.
Faël, les soldats américains de cette époque portaient des chemises et non des T-Shirts. Fais gaffe à l'orthographe aussi.
Lies pareil pour l'ortho'. Ah et tu as joué le personnage de Cendrillon en disant qu'elle te laissait monter sur toi, je pense qu'il faut que tu modifies.
Alà bonne continuation mes p'tiots. }

[ C'est un souvenir & D'acc pour l'ortho ]

[Désolé pour les fautes et le tee-shirt je ferais attention la prochaine fois.]

Elle me réveilla lorsqu'elle dit :

«- Ethan, calme toi. Je vais chercher une compresse »

Ses yeux se firent fuyant et elle se leva. Je transpirais abondamment. La sueur coulait de mon front, collant mes cheveux sur celui ci. Je ne devais pas avoir fière allure. Je me demandais brièvement où était passé Faël. Et puis je pensais :

*Au Diable ce maudit canasson ! *

Mais j'avais beau dire, j'étais dévoré d'inquiétude. C'est que j'y tenais a cet étalon. Mon seul ami avec Spencer. Une interrogation vint me tourmenter. Pourquoi cette jeune blanche vivait-elle avec les indiens ? Et comment connaissait-elle mon nom ? Que d'interrogations sans réponse. Trop de sensations douloureuses. De souvenirs qui venaient me tourmenter.

*Au...Maman, je suis désolé de t'avoir abandonnée.*

Que de choses que je voudrais garder tout au fond de mon être et qui ressurgissaient aux moindres signes de faiblesse. J'aurais voulu les mettre dans ma poche avec un mouchoir par dessus. Mais ce n'étais pas aussi simple. On n'oublie pas son passé si facilement. Tout ceci avait duré que quelques secondes. Suffisantes pour la jeune file qui avait fermé derrière elle le rideau de la porte de son Tipis et qui revint avec une compresse tissé de feuilles. Fiévreux je la regardais comme si elle était le Messie. Elle m'observait les yeux emplis d'appréhension. Mais de quoi ou peut être de qui avait-elle peur ? Je n'allais certes pas lui faire de mal dans l'état ou j'étais et les Indiens si ils l'avaient accueillie dans leurs rangs n'allaient pas non plus attenter à sa vie. Elle appliquait la compressent sur le sang et me regardait. Jetant en même temps des coups d'œil rapide vers l'entrée du Tipis au ca où quelqu'un viendrait. Mon cœur se serra face à son angoisse. Je dis d'une voix rendu rauque par la douleur et la fatigue :

«-Vous avez était gentille de ne pas me dénoncer aux Indiens. Mais si votre Tribus adoptive vous rejettes à cause de moi faite le. »

Je me demandais quel allait être sa réaction. Et quel serait mon traitement si elle me livrait aux siens.

♦ Traitre & Traitresse... Nous vivons dans un monde sans arrêt surveillé... ♦ ♥
Ouah ! La jeune fille sortit, venant me caresser le front, surprise, je mis mes oreilles en avant, et me mis à essayer de lui attraper ses doigts pour m'amuser... Un rapide bisou, elle se mit à partir ; Déjà ? Discrètement, je la suivais, dans un petit pas éloignée d'elle, j'observais la jeune indienne qui était un peu trop blanche pour l'être... Mais bon, je suis pas pie et pourtant je suis une jument d'Indien !? Faut jamais se fier à la race et aux couleurs... Cette petite me rappelais vaguement quelqu'un... Etait-ce celle qui m'avait chevaucher dans les vertes prairies ? Ou tout simplement une humaine qui s'en foutait complètement de la bête qu'elle monte... Raaah ! Ma mémoire me perdra ¬o¬ oh et puis.. Je m'en fichtre ! D'un coup, je la vis parler à un de ses ennemis ( enfin si l'ont puisse dire * tousse * ) : Les soldats ! Le cheval gris qui partait d'en un beau coup de cxl, le laissant seul au sol, bizarre la monture... Ou serait-ce l'homme bizarre ? Dans tous les cas, tout ceux qui font partis du clan ennemis sont bizarre èwé quoi que... P'têtre pas tous :'O Voyez-vous, je suis un peu perdue... 'Fin bref... La jeune fille, dont je me souviens toujours pas de son prénom ( excusez-moi, je suis un cheval ! >.< ), se mit à guérir le soldat, je me retournais par un bref soupire, ses humains des fois... A se faire la guerre tout le temps, alors qu'au fond, ils ne sont pas tellement ennemis ! Le cheval gris se mit à hennir doucement, avec sa pâle tête, une tête d'étalon en tout cas... Par un tout autre bref soupire, je me mis en sa direction et remarquais les rênes légèrement accrochés, et cet imbécile s'emmêler les pieds dedans ! Quel cxn quoi !? Je roulais simplement des yeux, et avec tendresse je vins lui enlever se qui lui faisait office de chaînes, et je lui redresser toujours délicatement sur son encolure, j'avais pris l'habitude de tout faire maintenant moi... Je pris d'un coup de dents les cordes en cuirs ou je sais pas quoi, et me mis à le tirer... Son petit hennissement tonitruant, cassé jusqu'à la gorge, me faisait point fondre... Ennemis, pas ennemis, je le rendrais à son propriétaire èwé heureusement tata Dridri est là u.u...

Celui-ci me suivait, comme si je n'étais que son cavalier, la tête baissé, il se mit à ronfler comme si il avait était trahit par l'un de ses frères de lait ; je lui soufflais d'une simple voix, plutôt faible.. " Tu sais, il n'a pas l'air si bougre ton cavalier... " celui-ci me foudroyait d'un coup du regard, rooh les mecs ¬¬ Je me découvris des arbres et me montrais à la jeune fille, par un doux hennissement, comme tout le monde les aiment : Chaleureux. Je me mis d'un coup au petit trot, mais l'autre imbécile me suivait pas, fallait encore que je tire plus fort ? Non, car il se mit à me suivre, sans ronchonner... Voilà homme, ton cheval est là, et maintenant laisse la petite seule ; en bref - Barre toi 8']

[ /Se met à genoux/ Excusez-moi, excusez-moi, excusez-moi de mon retard TwT je me rattraperais ♥ Donnez-moi mon châtiment, maintenant... Au moins je ne souffrirais plus T...........T ]

5 jours avant verrouillage, si pas de réponse.

» Il est fou et sauvage, mais il a un coeur!